En 1830, Charles DIETZ -ingénieur Allemand- insère une bande de caoutchouc entre le cerclage en métal et la roue en bois pour améliorer le confort des passagers assis dans sa diligence à vapeur.
En 1839, Charles GOODYEAR– chimiste- développe aux U.S.A le procédé de vulcanisation permettant de stabiliser l’état du caoutchouc, quelle que soit de la température d’utilisation.
Thomas HANCOCK– ingénieur Anglais- poursuit les travaux et dépose un brevet en 1842.
En 1845, Robert William THOMSON dépose un brevet de bandage pneumatique à air comprimé. L’idée ne reçoit pas l’attention immédiate.
Il faudra plusieurs années pour passer de la forme plate au boudin tubulaire emprisonnant une corde de piano.
En 1887, un vétérinaire du nom de John BOYD DUNLOP trouve que l’amortissement serait meilleur sur le tricycle de son fils s’il garnissait les roues d’un boudin de caoutchouc.
Les routes écossaises seront bien plus confortables encore lorsqu’il colle sur une jante en bois une chambre à air enrobée d’une toile de coton tissée.
Le pneumatique apparait ainsi avec une chambre à air.
En 1888, John BOYD DUNLOP et le coureur cycliste James MOORE, ont un brevet solide issu du développement de la chambre à air enrobée de tissu.
Pour produire des pneus de vélos dans une toute nouvelle usine ouverte en 1899, ils emploient la technique de vulcanisation du caoutchouc développée par Charles GOODYEAR.